Je porte toujours les ongles longs, vernis. J'ai la chance qu'ils soient durs, et je peux ainsi m'en servir de griffe si celà est nécessaire. Ainsi, j'ai eu pendant longtemps un soumis qui ne venait que pour çà. D'abord allongé sur le ventre, je passais mes ongles sur son dos, doucement, puis de plus en plus fort. Les traces devenaient vite rouge, et après quelques passages, je récoltais sous mes ongles de la peau. Je continuais ainsi jusqu'à ce que le sang perle et je le faisais changer de côté. J'attaquais alors les seins qui subissait le même traitement, et descendais sur le ventre. La peau est fine et tendue, et les marques se faisaient très vite. Là aussi, je ramassais de petits morceaux de peau, pendant qu'il se masturbait à la vue des longues traces laissées. Parfois, je lui plantais mes griffes dnas les tétons, et je serrais fortement, le menacant de les couper en appuyant encore plus. A la fin, son torse et son ventre étaient couverts de trainées rouges sanglantes, et tout en en redemandant, il jouissait. Mais parfois, j'utilise aussi mes ongles juste pour titiller, agacer certains endroits sensibles. C'est un instrument multi-usages qui a pour avantage d'être prêt en permanence.

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Lorsqu'il m'a appelé hier, je lui ai tout de suite dit que cette fois, il venait sans accessoires et sans scénario. En effet, il vient toujours avec une ribambelle d'objets divers et variés, qui servent à se déguiser, et celà va de la baguette de majorette strassée au nez de cochon en peluche, en passant par le chapeau à clochette, le parapluie-jupe, le noeud papillon géant, j'en passe et des meilleures. Le problème est qu'au fil du temps, le sac d'accessoires que je garde pour lui est devenu 8 gros sacs pleins à craquer, qui mobilise tout le bas de mon dressing. Depuis des semaines je lui dit qu'il faut trier et ne garder que le nécessaire. Il a toujours une bonne excuse pour ne pas le faire. Alors aujourd'hui, il ne sait pas qu'il va devoir ranger ses affaires! Il arrive tête basse car il se doute que j'ai tramé quelque chose. Je le fais se deshabiller dans la salle de bain, et je le traine tout nu dans mon donjon. Ses yeux s'écarquillent lorsqu'il voir les sacs en vrac par terre. Je lui explique sa tâche du jour, et pour le mettre en forme, je lui donne une bonne fessée sur mes genoux. Hé oui, il ne pensait pas qu'il y en avait autant, il ne se rappelait plus.. et autres excuses dont je n'ai que faire. Re-fessée car il traine à faire le tri. Paniqué, il tremble et le tas "à jeter" commence à être conséquent. Il a le culot de me dire " je voulais juste un coin pour mes affaires à moi"!!! Je ne manque pas de lui rétorquer que là, ce n'est plus un coin mais une pièce particulière qu'il faudrait à môssieur. Re-fessée qu'il a cette fois encore bien cherchée. Finalement, sous mon regard mi-amusé de le voir tremblant, mi-furieux de ce sans-gêne, il arrive péniblement au bout de son tri, me précisant qu'il en refera un autre une autre fois. Pour lui faire bien comprendre que je ne suis pas un garde-meuble, je lui donne du martinet, puis je le fais allonger sur le dos. Je m'assoie sur lui, et lui fait répéter après moi: je suis un fainéant, je ne range rien et ce jusqu'à ce qu'il jouisse. Il ne me reste plus ce soir qu'à descendre 4 énormes sacs, et si un clochard met le nez dedans, il aura je pense une surprise au vu du contenu...

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Il fut un moment où je recherchais un esclave personnel. J'avais même passé une annonce en ce sens (oui, oui!!!). Les réponses devant se faire uniquement par courrier (sinon bonjour le défilé de malades au téléphone, soyons réaliste), j'ai donc reçu moultes lettres, toutes plus "vendeuses" les unes que les autres. Alors bien sur, j'avais et j'ai toujours d'ailleurs, mis la barre assez haut. Le soumis doit remplir un certain nombre de condition, ce qui me parait évident, mais ne l'est pas à l'usage pour ces messieurs. Je vous passe sous silence ceux qui se décrivaient comme ayant un physique avantageux...., ceux qui étant mariés ne pouvaient se libérer que tel jour entre 12h03 et 14h 08, ceux qui avaient un travail prenant ne leur laissant que peu de disponibilité, ceux qui proposait un service mais en échange de 10 séances, ceux qui désiraient être chauffeur mais n'avaient pas de voiture, ceux qui désiraient être soubrette mais n'avaient jamais tenu un chiffon de leur vie, ceux qui avaient peur de mon chien, et j'en passe, sans compter ceux qui étaient une compilation de tout ça!! C'est vous dire, si malgré tout, j'en ai essayé. A la fin, j'ai abandonné, car je pense que la définition même de l'esclave personnel est très rarement comprise. Non, ce n'est pas drôle et passionant en permanence, il faut réellement de la motivation pour supporter les contraintes, les obligations, le temps à consacrer à sa maitresse au détriment de sa vie personnelle, les services à faire et à rendre, et ne pas tout le temps attendre une contrepartie. Il faut d'abord faire ses preuves, il faut comme dans toute relation qu'une entente se crée, puis au fil du temps que la confiance passe. Non celà ne se fait pas en huit jours, non ce n'est pas un petit coup de plumeau qui suffit, vous désirez une relation extrème, alors le reste est à l'avenant. Donc, entre les incapables, les égoistes, les décérébrés, les moules collées aux rochers et autres purges, j'ai arrêté ma recherche. Pourconclure (momentannément) sur ce sujet, vous qui recherchez une place attitrée, réfléchissez à deux fois, faites le bilan réel de ce vous pouvez proposer, sans tricher car la vérification se fait vite, et dans 99% des cas, laissez tomber. Vous vous épargnerez une déception, et éviterez à la maitresse de perdre son temps et ses nerfs.

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